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Identité :Alias : The death warrior Nom : AUCUN Prénom : Taran Age : 35 Ans physiquement (inconnu réellement) Espèce : Alien Statut : Célibataire Orientation : Hétéro Métier : Chef d'entreprise Considéré comme un : Super Vilain Pouvoirs : - Pouvoir :
En humain: - -Le feu:
Taran maîtrise le feu au point qu'il peut lui faire faire ce qu'il veut. Il le crée à partir des molécules qui l'entour et de l'hydrogène ambiant. Il a la possibilité d'enflammer un pièce. Mais comme on dit trop de maîtrise tue la maîtrise. L'utilisation répété de ce pouvoir augmente l'énergie produite par son corps favorisant la folie sous jassante ainsi que la créature au dépend de l'homme. Il ne peut se permettre ce genre de problème. Il prend donc bien garde à varier l'utilisation de ces pouvoirs.
- -La foudre:
Il en acquit la maîtrise un peu plus tard, à la sortie du temple. Taran utilisa les mêmes techniques que pour le feu mais il s'aperçut bien vite que son corps emmagasinait encore plus d'énergie que lorsqu'il utilisait le feu. Il réserve donc ce pouvoir pour les cas d'extrême urgence. - -Le vol:
Ce fut le premier de ces pouvoirs à ce manifester. Enfin c'est ce que le carnet de Frère Balthazar lui apprit. Il n'avait aucun souvenir de ce moment, voir de ces moments, car il semblait utiliser cette faculté à chaque fois que ces tortionnaires voulaient le briser (récit recueillit dans le carnet de Frère Balthazar, voir histoire du personnage). Il peut voler sur de long distance. - -Maître d'arme:
Il se forma au près des frères du temple qui, bien qu'ils furent ces bourreaux, lui apprirent tout ce qu'ils connaissaient. Taran, affectionnant particulièrement les armes blanches, s'entraîna au maniement de l'épée, de l'arc, de la hache, du couteau, de la faux, du gourdin, de la massue, du marteau de guerre et enfin de la lance et du bâton. Cette formation lui fut d'un grand secoure car ne pouvant utiliser ces pouvoirs en permanence, sans conséquence, il se devait de trouver une alternative pour ce défendre. Pendant qu'il vécu au temple, il se forgea sa propre épée, en secret, grâce aux manuscrits de la bibliothèque.
- -Influencer les reptiles et en particulier les serpents:
Il constata ce don lors d'une escapade, il se réfugia dans une grotte et trouva un nid de vipère. Il fut effrayé dût à son jeune âge, mais il comprit que les serpents avaient plus peur que lui. Il leur communiqua donc de ne pas avoir peur, qu'il ne leur ferait aucun mal. Les reptiles ne furent pas coopératif, dès le début. Il fallu de nombreuse rencontre avant que la communication se face dans les meilleurs conditions. (propos recueillit par frère Balthazar, dans son carnet, de la bouche du jeune Taran lui-même) Il a d'ailleurs depuis son départ, deux serpents enroulés autour des poignets, deux aspics d'un vert émeraude. Leur morsure apportant la mort rapidement, la peur que provoque ces animaux est un bon moyen pour Taran d'arriver à ces fin. En Golem - -Le feu devient torrent de lave et de roche fondu:
Le Golem fait appel à la lave contenu dans le noyau de la terre et ce nourrit de cette puissance. Son corps ne fondant pas, il se gorge de cette matière et la restitue sous la forme de torrent ou de colonne de feu. Il brûle tout sur un rayon de trois à quatre mètres autour de lui. - -Le tonnerre:
Aucune information sur ce pouvoir car le Golem du temple ne maîtrisait pas cette technique.
- -Le vol:
A cause de son poids , le Golem ne peut plus décoller. Il saute donc sur de courte distance mais il provoque de tremblement de terre si violant que les édifices ne peuvent tenir bien longtemps après sont passage.
- -La maîtrise des armes n'existe plus:
Le Golem bénéficie d'une force physique hors norme. De plus son corps est recouvert d'un arsenal de pointes et de piques qui transforment toutes les personnes présentent, sur son passage, en montagne de chair sanguinolente et grillée à point. - -Influencer les reptiles et en particulier les serpents:
Le Golem ne les influence plus mais les contrôle. La folie et la puissance du monstre transforment les reptiles en une sorte d'esclave qui exécutera les ordres au péril de sa vie. Il n'y aura aucun échappatoire pour le serpents qui se consumera de l'intérieur au fur et à mesure du contacte avec l'esprit du Golem. (Expérience consignée dans les pages manquantes du carnet de Frère Balthazar, une note indique que l'esprit encore jeune du Golem souhaitait prendre le contrôle des humains présent dans la pièce...ces expériences ont été arrêtées. )
- Arme/Armure:
Armes: - Spoiler:
-Arc en bois d'if, gravé de rune renforçant le bois et la corde. Quasi indestructible, cette arme est sa deuxième prunelle. La première étant sont épée. L'arc mesure 1,50 m de long, il est léger, et maniable, idéale pour la traque et les tires de vitesse. Taran fit beaucoup de ravage avec lui lors des chasses qu'il réalisait avec les frères, une fois adulte.
-Épée qu'il a lui-même forgé. Dans la douleur et le sang, n'acquit une arme sans pareil, sont équilibre et sa résistance n'ont pas d'égale si ce n'est Excalibur. Cette épée, une fois recouverte de flamme peut couper n'importe quoi. Sa lame fut forgé avec des fragments d'un métal venu de l'espace. (Note dans le carnet de Balthazar: ces fragments n'étaient autre que les morceaux du vaisseau qui apporta la mère de Taran sur terre). La lame de 1,20 m est séparé de la poignée en bois d'if par une garde du même métal. Le pommeau gravé du symbole de Taran, fut travaillé également dans le même métal. Il nomma son épée: Arcana, l'épée du fléau.
-Deux dagues, une dans chaque botte. Il en porte une troisième caché dans les replis de ces affaires. Une dagues que lui offrit son mentor et ami Frère Balthazar, juste avant de mourir. La lame est enduite d'un poison dont seul son mentor avait le secret. Taran réserve cette arme pour ces ennemis récalcitrant. Le poison a une capacité unique, elle annihile tous les pouvoirs avant de paralysé le sujet, puis le tuer.
-Deux hachettes récupérées dans le bureau du Maître du temple. Une sorte de rappel de la cruauté humaine. Bien qu'il n'ait aucun souvenir, Taran, grâce au carnet, a connaissance de l'essentiel. Il estime cela plus important que le souvenir. Car de ce fait, il n'est pas paralysé par la peur.
Armure: - Spoiler:
-Aucun, seul quelques runes ou glyphes sur son costume le protège vaguement mais rien de probant. - Point Faible/Limite:
- -Le feu ou la foudre=Golem:
Terrible malédiction quand les pouvoirs les plus puissants sont les plus dévastateurs pour l'hôte. En effet, une accumulation d'énergie, venant de l'intérieur ou de l'extérieur provoque une mutation chez Taran qui le transforme en Golem. Oui mais ce monstre , malgré sa puissance, semble plus sensible que l'humain. Le froid extrême, la glace et l'eau ont raison de lui. Une quantité d'énergie permanente et supérieur à ce qu'il peut déverser provoque une surcharge dans le système nerveux de la créature, provoquant une perte de contrôle voir la mort. (Expériences consignées dans le carnet de Frère Balthazar)
- -Le vol:
Longue distance de vol = grande faim et grande fatigue. Taran n'a aucun souvenir mais il faillit mourir alors qu'il avait fuit le temple par la voie des airs. Frère Balthazar le récupéra à plusieurs kilomètres du lieu de culte dans un état proche de la mort. Il lui fallu deux semaines pour se remettre totalement de sa convalescence. Et de nombreuses années pour apprendre à voler sans consommer beaucoup d'énergie. Malgré cela, un vol long pour une fuite par exemple provoquerait un contre coup énergétique grave dans son corps. (Frère Balthazar suggère de concentré de l'énergie à la limite de la transformation et de tenter le vol sur de longue distance, Taran n'a pas encore tenté l'expérience) - -Maître d'arme mais pas invincible:
Certes, Taran maîtrise un grand nombre d'arme ...blanche mais il n'a aucune connaissance des armes à feu à tel point qu'il n'a pas pensé à s'en protéger. D'après ce que consigne Frère Balthazar, toujours dans son carnet, les symboles sur la combinaison pourrait dévier quelques projectiles mais pas suffisamment pour que Taran n'en subisse les conséquences.
- -Influencer les reptiles et en particulier les serpents:
aucune limite ou faiblesse apparue au court des expériences menées. - -Le sang humain:
Étrange faiblesse, en effet le sang humain en contacte avec Taran ou le Golem, provoque une diminution son agressivité voir sa combativité. Un contacte prolongé provoque une perte partiel de pouvoirs, Taran devint humain. Le seul pouvoir restant encore actif est celui de communiquer avec les serpents. (Conclusion consignée dans le carnet de Frère Balthazar)
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Origine et histoire :
Une brise légère jouait dans les rideaux du somptueux loft qu'occupait Taran. Il n'aimait pas particulièrement cet endroit mais la hauteur de la tour qui le contenait en faisait un point d'observation sans égal. Il voyait Colossus City d'est en ouest et du nord au sud. Il avait acheter cet appartement près d'un an au paravent. Il n'y passait pas beaucoup de temps. C'était plus une garçonnière. En témoigne, la superbe créature, dont les courbes sublimement dessinée par le drap, qui dormait dans son lit. Mais elle aurait un réveil difficile, c'était une super héroïne.
Passant devant le miroir de la chambre, Taran, torse nu, posa les yeux sur cette marque, ce triquetra, comme gravé au fer rouge sur son pectoral gauche. Il l'avait toujours vu. Toujours...
Son esprit partie de la pièce. Il était dix ans plus tôt...Debout, un bout de miroir à la main. Il regardait cette marque. Elle était presque entièrement rouge sang. Il sentait en lui de la colère, de la rage même. Un feu liquide qui lui brûlait les entrailles. La créature allait sortir. Ils avaient tout fait pour. Encore...Et Balthazar ne serait pas là cette fois. Des larmes coulaient, perlant de sous sa capuche. Il avait jamais pleuré devant eux enfin il ne le pensait pas. Il n'avait aucun souvenir. Seule le besoin de détruire l'accompagnait. Sa haine, dirigé sur les super héros, lui avait été insufflé jour après jour par les démons vivants dans cet endroit. Il essuya ses yeux, referma sa bure, cacha le bout de miroir et s'apprêta à sortir quand la porte s'ouvrit à la volé. Sans ses réflexes durement acquis, il serait borgne à l'heure qu'il était. Alors qu'il allait grogner contre cet attaque. Il se ravisa.
Le grand Maître des lieux se tenait dans l'encadrement de la porte. Il toisa le jeune Taran de toute sa hauteur. Il le dépassait d'une bonne tête. Le grand Maître mesurait un bon mètre d'épaule de plus que lui. Un colosse au cœur aussi dur et noir que les pires démons de l'enfer. Si Satan avait un corps en se bat monde, se serait cet homme se disait Taran. Il frémit lorsque le Maître tendit un doigt vers lui, lui signifiant de s'approcher.
-Frère Balthazar te demande. Sa dernière heure est arrivé. Lâchât il de sa voix d'outre tombe. Il se retourna et ajouta:
-Ne traine pas, une séance t'attend. Il s'en fut sans un regard en arrière.
Taran tremblait comme une feuille. Il était pourtant un homme, un grand guerrier. Mais en cet instant, il se sentait insignifiant et faible. Il ne contrôlait plus rien.
Il se retrouva devant la porte de la chambre de son mentor sans s'en rendre compte. Qui l'avait amené ici ? Lui dans sa transe ou la bête ? Il ne savait pas, il ne savait plus.
Il frappa. Pas de réponse. Pour vus qu'il ne soit pas trop tard se dit il...
La porte s'ouvrit d'elle même.
Le jeune homme entra.
La chambre du vieil homme n'était pas plus meublée que la sienne. Une couche en planche de boite surmonté d'un matelas de paille qu'ils devaient confectionner eux même. Pour les plus haut placé dans l'ordre, des draps en coton grossier leur étaient attribués. Pour les autres, leur bure faisait office de couverture. Une chaise servait de table de nuit et de chevalet. Sur un des murs, la déesse de la terre, la tête penché sur le coté, les bras croisées regardait la scènes comme si ce qu'elle entendait et voyait ne la touchait pas.
Poussé par un instinct dont il avait oublié l'origine, Taran se dirigea vers la statue et commença à prier. Une voix chevretant mais emplis d'autorité et d'amour s'éleva des draps enchevêtrés.
-Mon garçon, elle ne te sera d'aucune aide. Vois ce qu'elle a fait de moi. Viens approche toi. J'ai à te parler. Une main décharnée sortie des draps.
Le jeune homme s'approcha la tête basse, la tristesse le tenait.
Il prit la main que le vieil homme lui tendait.
-Frère Balthazar...Soudain, la brûlure dans sa poitrine se calma, la créature semblait s'endormir. Il sentait que quelque chose fuyait mais il ne savait pas quoi. Puis, ce fut un peu hébété qu'il s'assit sur la chaise. Il secoua la tête. Mais rien y fit ses idées s'embrouillaient.
-Maître, que...Balthazar se redressa quelque peu sur son lit. Il semblait avoir retrouvé un peu de sa force. S'était il nourrit du pouvoir de Taran ? Le jeune homme n'arrivait pas à fixer son esprit. Il ne pouvait réfléchir à la question.
-Je te demanderais de m'écoutez et surtout de me pardonner pour ce que je vais te dire. Je suis désolé mon garçon. Pour tout ce que je t'ai fait. -Mais...Un froncement de sourcil rappela à l'ordre le jeune homme. Il observa donc le silence mais aussi le visage marqué de son mentor. Il n'avait que la peau sur les os, ses yeux trop grand pour leur orbite n'avaient jamais été aussi triste. Son crâne où se bâtaient quelque cheveux blanc, était perclus de tache de vieillesse. Son corps bougeait tout seul. Sa bouche au lèvre inexistante s'étira en un sourire.
-Tu es, malgré les horreurs que je t'ai fais, le plus beau cadeau de ma vie...pardonne moi. -Je vous pardonne Frère Balthazar...Une larme solitaire coula sur le visage du vieil homme.
-Tu ne le pourras pas...Je t'ai trahi , je t'ai fait souffrir au delà de tout ce que tu peux imaginer. Ton pire bourreau n'est pas dans la salle d'expérience mais ici dans cette pièce. Balthazar prit une grande inspiration.
-As tu l'impression que des pans entiers de ta vie te manque ?Taran fit oui de la tête. Il ne pouvait rien faire d'autre. Il était comme captif de son propre corps. Les yeux d'un bleu azur de Balthazar le clouaient sur place.
-C'est de ma faute. Et en voici les raisons. Il prit un paquet sous ses draps et le tendit au jeune homme. Avec une extrême délicatesse, Taran défit les cordes qui liait le tissu sur le rectangle posé sur ces genoux. Alors qu'il en vint enfin à bout, ses doigts gourds sortirent un petit carnet scellé. Une minuscule clé apparue dans la main décharné du mentor.
-Ouvre le. L'encouragea le vieil homme.
Malgré la boule qui lui nouait la gorge, Taran s'exécuta.
Passant la page de garde, le jeune homme se trouva face à la première page manuscrite du carnet. Et voici ce qu'il y lut:
« Carnet de bord de Frère Balthazar, démon déchu. Super héros raté. Marie infidèle. Futur Mentor, puisse cette fonction racheter ma vie »
La ligne suivante indiquait:
« Disciple: Taranis, l'enfant démon tombé du ciel »
Taran releva la tête mais son mentor lui fit signe de continuer.
Il tourna la première page et lu la suite.
Elle relatait son arrivé sur terre, les détails de la rencontre entre sa mère et frère Balthazar. Il comprit en lisant ces lignes d'où lui venait sa haine des super héros. Elle lui venait de son peuple, exterminé par des envahisseurs venues de la terre. Leur chef prétendait être leur ami, il portait un grand S sur son poitrail. D'après l'auteur, ces visions n'avaient aucun sans car elle contredisait tout ce qu'il avait appris de cette époque lointaine. Pour Taran, cela ne faisait aucun doute. Il continua sa lecture.
Sa mère accoucha dans la douleur, assisté de Balthazar. Il jura de protéger, l'enfant. Un commentaire en marge indiquait que même sans se serment, il l'aurait fait car cet enfant était attendu. Sa mère lui donna le nom de Taranis. C'était le nom du dieux de la guerre chez son peuple.
Les larmes brouillait la vue du jeune homme. Il regarda son mentor et s'essuya les yeux.
-En quoi devrais je vous pardonné. Vous avez aidé ma mère...Le vieil homme leva la main.
-Continue ta lecture, mon garçon.Une fois la tristesse passé, Taran reprit.
Sa mère était mal en point mais encore en vie quand les autres frères arrivèrent. Le grand maître ordonna que l'enfant et la femme soit remit sous son autorité. Se sentant agressé, sa mère utilisa le peu de force qui lui restait pour incendier les abords du lieu d'impact. Le grand Maître fut prit au piège. Afin de calmer la femme, Balthazar posa sa main sur son bras et absorba le pouvoir qu'elle utilisait. Malgré son sourire, le frère ne réussit pas à étouffer le sentiment de trahison de la femme. Elle se retourna contre lui. Avec un morceau de vaisseau, elle s'attaqua à celui qui l'avait assisté. Elle voulu le frapper. Mais sa faiblesse eut raison de la jeune mère et elle s'écroula.
Le frère prit en pitié cette femme et la prit dans ces bras. Il fit l'éviter l'enfant pour qu'il ne le gène pas. Heureusement, le nouveau né ne pleurait pas. Il observait. Balthazar s'apprêtait à retourner au temple quand le grand Maître l'arrêta. Il lui demanda ce qu'il comptais faire de ces créatures. Le frère répondit qu'il les soignerais. Mais son supérieur ne l'entendit pas de cette oreille. Saisissant Balthazar, il lui informa qu'il n'avait aucun droit dans ce temple et qu'il ne répondait qu'à lui et à la déesse de la terre. L'ordre surprit le frère mais il s'avisa que la force n'était pas de son coté. Il s'abstint donc de répondre.
Le grand Maître sourit. Il lui proposa un dilemme: La femme ou l'enfant. Il devait choisir qui il formerait. Balthazar hésita. Il ne pouvait laisser cet enfant aux mains de ces monstres. Il sacrifia donc la mère au profit de l'enfant.
Taran redressa plus vivement la tête et abaissa sa capuche.
-Vous l'avez laissé au main du grand Maître. Mais vous aviez plus de pouvoir que lui, pourquoi avoir fait cela, pourquoi...Une fois de plus, le vieil homme leva la main. Et lui indiqua de continuer. Alors qu'il reprenait sa lecture, Taran constata que le visage de son mentor semblait de plus en plus cireux.
Il continua malgré tout.
Ce fut la dernière fois que Balthazar vit la jeune alien en vie et en un seul morceau. Quelques semaines plus tard, Le grand Maître convoqua le frère. Il lui exposa ces découvertes concernant cette inconnu tombée du ciel. N'ayant eu aucune réponse à ses requêtes, Balthazar sauta sur l'occasion pour demander à revoir la jeune femme. Faut dire qu'elle hantait ses nuits et ses jours. Le grand Maître accepta. Il emmena le frère dans une salle adjacente. Une seule phrase fut écrite à la suite de ce passage: « l'horreur c'est imposé à moi. Je suis entouré de fou me suis je dis. »
Le frère partit, accompagné par le rire démoniaque du Maître des lieux et pour la première fois de sa vie il vomit tripes et boyaux.
Les images de cette pièces reviennent chaque jour que la déesse faisait.
Mais, Balthazar écrivit qu'il n'en eux pas fini. Le bourreau vint le rechercher et lui ordonna de livré l'enfant car il se révélerais une mine d'information. Balthazar, qui avait prévue depuis quelques temps de partir, ne fit aucune promesse réelle et retourna dans sa chambre. N'ayant que peut d'effet personnel, il les rassembla, cacha l'enfant dans un sac en osier et sortit pas les passages secrets du temple. L'enfant ne devait en aucun cas devenir un monstre. Le peuple de cette femme n'était pas des abomminations mais des guerriers, il n'aimait pas l'injustice et la méchanceté. Et Balthazar était sur d'une chose, le héros au grand S n'était pour rien dans cette tragédie. Il manquait à la femme des éléments. Et il n'aurait plus jamais l'occasion de lui faire prendre conscience de la situation.
A partir de ce moment, les récits semblaient plus espacé, plus proche des réflexions philosophique. Il continuait ses observations sur Taranis (comme il s'appelait encore à cette époque). Le petit enfant ne semblait pas vraiment différent des autres. Et Balthazar s'en réjouie. Il partie donc pour une petite ville baptisé Espoir en l'honneur des super héros. Elle se situait à plusieurs dizaine de kilomètre du temple et d'autant de Colossus City. Le frère ne voulait pas vivre dans la ville de la perversion. Il rencontra une femme. Il lui avoua tous, elle lui avoua tout et ils se marièrent. La première partie s'achevait ainsi:
« Dix ans plus tard n'acquit Marine notre fille. Lara et moi somme les parents les plus heureux du monde. »
Taran avait lu à haute voix la dernière phrase. Et s'apprêtait à tourné la page.
-Attend avant de reprendre ta lecture. Il faut que je te raconte une partie qui n'est pas écrite. Le jeune homme leva la tête.
-J'ai une soeur ? J'ai une mère adoptive et tu es mon père ?Le vieil homme ne répondit pas. Il avait les yeux clos et sa respiration semblait laborieuse.
-Mon garçon voici ce qu'il manque dans ce récit. Pendant quinze années tout se passa bien. Nous vivions heureux. Un jour, tu es partie avec ta soeur au marché de quartier comme tous les dimanches, depuis un an. Tu étais jeune et ta soeur aussi mais tout le monde nous connaissait. Il n'y avait jamais eu de problème, enfin, tu ne nous en avait jamais parlé. Une pause, Taran ne dit rien, il n'avait aucun souvenir.
-Tu es rentré plus tôt cette fois. Ta soeur, dans tes bras, était en pleur. Et vous étiez maculer de sang. La petite te répétait que ce n'était pas ta faute, qu'ils t'avaient fait assez de mal comme cela. Tu ne disais rien. Nous remarquâmes ta mère et moi que tes affaires étaient déchirées. Perplexe, nous voulions te retirer Marine afin que vous puissiez nous raconter ce qui venait de se passez en détail mais tu a faillit t'en prendre à nous. Utilisant ces pouvoirs pour te contrôler malgré elle, ta soeur maintenait ta crainte et t'empêchait de voir la réalité. Ta mère dut sceller momentanément les pouvoirs de la petite afin de te délivrer de son emprise. Et la situation revint à la normale. Le jeune homme c'était levé. Il pleurait une nouvelle fois. La tristesse l'avait reprit. Il n'avait aucun souvenir. Il ne savait plus. Pourquoi ?
-Mon garçon revint t'asseoir, je n'ai pas fini. Le jeune homme s'exécuta. Le vieil homme avait les yeux clos, les larmes coulait sans discontinuer de ses paupières. Ils souffraient ensemble.
-Tu m'as donc avoué que tu t'étais transformé alors qu'un des fils de super héros de la ville s'en prenait une fois de plus à vous. Comme tu n'as jamais réagit à ces petites méchancetés, il s'en ai prit à Marine. Tu as donc réagit en conséquence. L'énergie qu'il a dégagé, tu l'as absorbé comme une éponge et ne maîtrisant aucun autre pouvoir, tu l'as dégagé d'une autre manière, un autre toi à prit la place. Après tu ne te souvint plus que du sang. Une pause
-La soirée fut pire que la journée. Pourtant, je suis allé voir le autorités. Je me suis expliqué. Mais l'un des garnement qui vous martyrisait, était un fils de super héros haut placé, et pas des moindres, puisqu'il était maire de la ville. Le conseil se réunit et le soir, une patrouille vint te chercher pour te juger. Ils te considéraient comme un monstre. Tu t'es transformé pour la seconde fois, ce jour. Et tu n'avait rien à voir avec les êtres protecteurs que j'ai vue dans l'esprit de ta mère. Tu était effrayant avec tes veines de lave partout sur le corps. Une intense chaleur se dégageait de toi. Tant et si bien que la patrouille de héros du se battre avec toi. Mais rien ne se passa comme prévu, des deux cotés. Les héros ne maîtrisant plus rien, ils s'en sont prit à ta mère et à moi. Marine voulut intervenir...
Un sanglot étouffé.
-Quand on a reprit connaissance, il ne restait plus rien de notre demeure. Nous étions déclaré mort . Alors pleurant à chaude larmes, je t'ai enveloppé dans une couverture et j'ai repris pour la première fois depuis des siècles ma forme de démon. Je suis partie, laissant derrière moi mon humanité. Et pour la première fois en quinze ans, je t'ai trahi. J'ai brisé le serment, que j'ai fais à ta mère, de te protéger. Je t'ai amené ici. Je souhaitais que l'on connaisse tes pouvoirs car seul, je ne pouvais rien faire. Pour ne pas que tu te transforme une fois de plus, je t'ai absorbé une grand partie de ton pouvoir ainsi que tes souvenirs. C'est là, l'effet secondaire de mes pouvoirs, je vole les souvenirs des gens en plus de leur pouvoir. C'est pour cela que je te demande pardon.
Taran ne savait plus ou il en était. Cet homme avait été son mentor enfin il le croyait, il se révélait être un père adoptif mais aussi son pire ennemi. Les sentiments tournaient dans sa tête.
Balthazar ouvrit les yeux et les braqua sur le jeune homme.
-Les pages suivantes regroupent les expériences menées sur toi, les conclusions, les observations. Je les ai toutes consigné dans ce journal afin que tu sache de quoi tu es capable. J'ai demandé à participer aux expériences afin de...de...de te protéger malgré tout.La rage de Taran explosa. Il ne se transforma pas mais il invoqua un éclair qu'il maintint dans sa main.
-Tu veux que je te pardonne de m'avoir transformé en rat de laboratoire...tu veux que je te pardonne d'avoir fait de ma vie un enfer. -Tu ne devais avoir aucun souvenir. -Moi peut être mais la créature si, elle me murmurait ce que vous aviez fait mais je ne la croyait pas. Je la repoussais. Mais aujourd'hui, j'accepte cette monstruosité et je revis à travers elle ce qu'elle a vécu...
Puis le visage de Marine s'imposa à lui, celui de Lara sa mère adoptive. L'éclair disparue.
-Pourquoi m'avoir trahit...Père ?Le vieil homme regarda le plafond et dans un dernier murmure lâchât:
-Je t'aime mon fils. Puis il s'éteint.
Complètement vidé, Taran se rendit dans la salle de torture. Le grand Maître l'attendait.
-Disciple Taranis, vous nous avez fait attendre.
-Mon nom est Taran dorénavant et je suis le death warrior. Les Frère présent rire.
-Alors le vieil homme ta parlé. Il ta tout dit.
-Oui et je lui pardonnerais un jour...mais pour le moment je vais tous vous éliminer. Les éclats de rire furent plus fort.
-
Tu es à nous depuis le début. Nous avons tout fait pour te garder au près de nous afin que tu devienne un tueur de héros. Et te voici...ici dans cette pièce suivant ta propre volonté. Tu es donc près à finir ta formation. Nous avons donc bien fait de payer ces parents pour que leurs enfants te torture...il y a si longtemps.
Une nouvelle barrière venait de s'ouvrit dans son coeur. Les héros était cupide, il devait tous les exterminer mais il devait avant tout tuer leur commanditaire. Et pour la première fois, il se transforma sans accumulation d'énergie.
Ce fut la dernière chose dont il se souvint. Il s'est réveillé au milieu de ruines fumantes. Il n'y avait autour de lui que des corps calcinés, des murs en miettes, des plaques de verre qui témoignaient du degré des flammes déversées.
Reconnaissant les restes du grand maître, il s'approcha de lui et découpa proprement son crâne. Il récupéra le devant de l'os. Devenant ainsi le masque de sont costume...Comment avait il su que c'était lui. C'était le seul cadavre de taille géante qui fuyait vers la sortie du temple.
Il aira longtemps avant de partir pour Colossus City. Il avait récupéré son équipement , ses armes dont celle que lui avait offert Balthazar. Il emmena aussi le carnet mais il ne l'ouvrit plus.
Et dix années passèrent.
Il était de retour dans la chambre de sa garçonnière à Colossus City.
Il mit un tee shirt, prit le couteau spéciale. Son adversaire, cette créature de rêve, nue dans son lit, était une redoutable héroïne. Il lui fit une petite entaille sur le bras alors qu'il l'embrassait dans le cou.
Le jeune femme se réveilla en suffoquant.
-Bonjour beauté!Il sourit en se relevant.
-Cette nuit fut magique mais malheureusement pour toi. Tu n'as pas répondu à mes questions. La jeune femme voulu bouger les bras mais elle en fut incapable.
-Ne t'agite pas. Un poison d'une extrême rareté circule dans tes veines. Il permet d'annihiler les pouvoir des héros, de les paralyser et à long terme de les tuer. -Pitié murmura sa prisonnière.
-Non, ce n'est pas la réponse que j'attendais. Anna-lisa, elle est à toi. Une jeune demoiselle apparue. Elle était de taille moyen et plutôt bien proportionnée. Elle portait, ce jour, un bustier noir sans bride, à dentelle, des jupes comme des tutus de différente couleur. Un leggings noir et des rangers. Elle avait les cheveux noir corbeau avec des mèches blanches et violettes. Ses mains étaient recouvert par des mitaines en résille qui lui montait jusqu'au coude. Sa bouche souligné par du rouge à lèvre violet, excitait Taran, encore plus. Et son regard, souligné par deux gros traits noirs, était intense et lui rappelait vaguement quelque chose. Mais la créature au fond de son coeur lui disait de ne pas la toucher.
Pour ne pas être perturbé, il se retourna et regarda par la fenêtre. Il sourit alors que la sorcière s'introduisait de force dans l'esprit de la prisonnière et lui dévoilait ses secrets.