Death Center

Je suis assis a un banc dans le centre commercial. Dès que j'ai été remis sur pieds, je me suis lancé. Il était temps de quitter l'anonymat.

Des bombes sont placées dans tout le centre. Mes hommes sont placés dans chaque magasin, prêt a attendre le signal. Dans mon sac, j'ai un pistolet, des chargeurs, mon couteau en argent et un micro relié en wi-fi aux haut parleurs du centre. Tout est prêt. J'ai fait une erreur, il est temps de la rattraper.

Mais avant le premier coup de feu, je dois essayer une chose.

Je prends mon portable et compose le numéro de Josh.

J'espère qu'il répondra a mes questions.

Je pénétrais dans un bâtiment silencieusement. J’avançais var un lieu faiblement éclairé, deux homme, des criminel s’entretenaient ensemble sur un sujet. J’étais pour l’un des deux hommes, son nom Andrew Style. Revendeur de drogue et fléau de la ville. Je bandais mon arc et sortis de l’ombre, aussitôt son comparse disparut, je dis alors ma phrase :

« Andrew Style tu as trahis la ville, tu dois payer ! »

Comme à mon habitude j’avais activais mon modificateur vocal et était assisté par mon API (assistant personnel informatique), dernière génération et de mon acolytes derrière les PC au repaire, Max Taylor. L’homme fit volte face :

« Encore toi, tu en a pas marre de me courir après toutes les nuit, ça fait déjà la troisième fois. Je te les déjà dis un arc c’est démodée et ça ne suffirait pas. »

« Cette fois ci »

L’homme disparut derrière une vitre, je m’élançais à sa suite. Il courait vite, mais j’arriver à le suivre, on finit par arriver sur les docks :

« Alors l’archer on se fatigue ? »

« Pour toi ça se finit ici »

Je bandais mon arc et tirais vers le ciel :

« Apprend à viser »

« J’ai visais et j’ai atteint ma cible »

« Hein ? »

L’homme levait les yeux au ciel, il eu juste le temps de voir un sac de sable lui tombais dessus et l’assommer :

« Max prévient la police »

« Ils son déjà en route »

Je finis par rentrer et prendre une excellente nuit de sommeil dans les bras de Lisa. Le lendemain je me rendais au studio photo, j’avais une séance pour des boxers d’une marque à promouvoir. LA créature de rêve qui posait avec moi, me dit que si la protubérance, qui se trouvais à l’avant de mon boxer, au niveau de mon entre jambe, correspondait à la réalité elle aimerait bien en profiter, je déclinais son offre lui indiquant que j’étais pris.

Alors que j’en filais un peignoir en attendant les prochaine prise, mon portable vibrais, je lus le nom sur l’écran, surpris et perplexe, je décrochais :

« Salut Alex »

Un grand sourire apparut sur mes lèvres au son de sa voix. Ca faisait bien longtemps.

- Salut Josh. Ca fait un bail. Écoute... Concernant le braquage... Tu n'est pas venu. Je me suis fait incendier par mes supérieurs... Je sais que tu dois te dire que c'était mal, que je devrait pas m'y impliquer, mais...

Mon esprit bouillonne. A chaque mot, je dois réfléchir au suivant, afin d'être crédible.

- ... Je vit dans la misère, et ce job est le seul moyen que j'ai de m'en sortir.

Ca devrait le faire.

- Si je t'ai demandé de le faire, c'est pour m'aider. Moi, ton pote. je suppose que c'était une erreur.

Alors, dis moi si tu te sens coupable, Harper, et je pourrait te manipuler a ma guise...

J’écoutais les arguments d’Alex. Il revint sur le braquage et ce que mon choix vis a vis de sa proposition, lui face à son supérieur. Et oui il savait ce que je pensais de ses actions, mais il semblait ne pas vouloir changer de vie. Il essayait de ce justifié de se trouver des circonstances atténuantes. Mais je savais qu’on devient criminel par choix et non par contrainte. Il me dit m’avoir demandais d’apporter mon aide, aider son pote. Il regrettait semble t’il. Tentait-il de me faire culpabiliser ? Si je n’avais pas en moi cette partie qui faisait la raison même de Space arrow, j’aurai put culpabiliser :

« Tu as fais un choix, tu as choisi cette vie. On devient criminel par choix, pas par nécessité. Ta misère tu peux en sortir. Si tu veux je peux t’aider. Je peut t’aider à t’en sortir »

Oui j’étais à sa disposition. Il suffisait qu’il fasse preuve d’humilité et qu’il revienne de sa mauvaise voix. Je pouvais même l’hébergé au manoir, il y avait suffisamment de chambre :

« Alex je te suivrais jamais sur ce chemin, je suis ton ami et je te le dis, change de voix, tu attends quoi de moi exactement, où est tu je viens de suite on pourra en parler ».

- Tu a tort. Je n'ai pas choisi cette voie.

Il refuse de suivre ma voie. La voie du chaos. Il refuse de m'aider. Quelle déception. Je suis sur qu'il aurait fait un bon bras droit.

- Très bien. Je vais te dire ce que je veux.

J'atteins le point de non retour. Mais si je veux atteindre mon but, je dois arrêter de vivre caché. Je m'assure que personne ne passe autour de moi.

- Je veux que Colossus sombre. Je veux que cette ville vive le même enfer que j'ai vécu. Mon but est de tuer, torturer chaque habitant de cette ville. Tu sais, tout ce qu'il faut pour répandre le chaos, c'est un peu de poudre et une boite d'allumette. Après, tout dépends de l'endroit ou tu fait péter la poudre. Fait la péter au milieu d'un désert, personne réagira. Fait la péter dans une ville, et c'est la panique. Mais certaines villes sont plus... VOLATILES que d'autre. Et tu sais comment je vois colossus ? Je la voit comme un convoi de camions citernes roulant sur un pont de singe au sommet d'une falaise. Il suffit d'une simple impulsion pour répandre la folie et le chaos. Juste une impulsion.

- Alors si tu veux essayer de m'arrêter, vas y. Montre moi ta volonté. Dès que je raccroche, je lance une prise d'otages dans le centre commercial. Je les libérerais si tu viens te rendre. Si tu rentre dans le centre et viens devant moi. La suite te plaira surement. Alors, marché conclu ?

Ca contre la ville était bien plus profonde que je pensais. Mais qu'avait il contre elle exactement. Il avait décrit avec un telle détermination et a coup de métaphore ce qui voulait pour ma ville d'adoption. En l'écoutant parler, je me demandais si finalement ça ne serait Alex qui saurait à l'origine de chaos que la ville allait subir dans moins d'un siècle.

Puis il me lançais un ultimatum, grave erreur j'ai horreur de ça. Une prise d'otage allait débuter dans quelques seconde:

"Ne fais pas ça Alex, ça ne sert à rien"

Mais un petit clic, me fit comprendre, que mon n'interlocuteur avait raccrochait. J'annonçais au plateau où je le trouver qu'il fallait que je file d'urgence, je me rhabillait et partit immédiatement. Dans l'ascenseur je contactais Max:

" API contacte Max!"

"Connexion établie"

"Max prépare Space arrow"

" Pas de probleme"

Une fois au repaire je revêtit ma tenue. J'expliquais rapidement ce qui se passais et le coup de téléphone que j'avais eu. Je prit mon arc,mon arbalète dépliable et mon carquois, mit ma capuche et prit mon envol et rejoignis le centre commerciale. Grâce au indication de Max, je pénétrais dans l'édifice. avec mon arc J'abbatit plusieurs hommes qui me barrait la route. J'avançais à pas de loup, puis je vis Alex:

" Alex Terrence tu as trahi ta ville, tu doit payer"

Le modificateur de voie avait était activait, je le fixait, j'avais bander mon arc et prêt à lui envoyer une flêche, d'où je me tenait seul lui pouvait me voir. Je ne voulais pas le tuer. Toujours hors du champ de vision sauf de lui, je baissais mon arc et retira ma capuche, découvrant ainsi mon visage à son regard. Il Pouvait crier à qui veut l'entendre, que Josh Harper le top model mondialement célèbre était Space Arrow, personne ne le croirait de toute façon:

"Je suis là"

Par c'est mots je lui faisait comprendre que j'avais tenue ma part du marché à lui de tenir la sienne.

Je raccroche. Immédiatement, je me lève et tire une balle en l'air. La panique commence. J'entends mes soldats dans tout le magasin. L'anarchie a commencée. Je cache mon couteau en argent sous ma veste, prends le micro et monte sur un kiosque pendant que tout le monde me regarde, paniqué.

- Mesdames et messieurs, navré d'interrompre vos emplettes quotidiennes, mais aujourd'hui est un jour très spécial !

Bob vient se mettre en garde devant mon kiosque tandis que mes hommes embarquent les civils.

- Ces charmants jeunes hommes vont vous enfermer dans divers boutiques. Elles sont toutes remplies d'explosifs, donc si l'un d'entre vous tente quoi que ce soit, BOUM ! Mais ne vous en faites pas, tout espoir n'est pas perdu. En effet, un homme est en chemin. Si il vient et se plie a mes exigences, vous vivrez. Mais !

Mes soldats, ayant finis d'empaqueter les civils dans les diverses boutiques, attendent que je finisse pour fermer les portails métalliques.

- Si l'un d'entre vous tente d'ouvrir un portail, les capteurs font péter la boutique dans laquelle vous êtes. Et au moment ou je crierais "Coupé", tout explosera, laissant uniquement le hall, donc la ou je me trouve, intact. Maintenant, chers amis, priez ! Et si vous avez de la chance... Peut-être que seuls vos proches crameront.

Les portails se ferment. Désormais, il n'y a que moi, Bob et mes hommes, armés jusqu'au dents. Nous attendons. Soudain, je remarque un arc pointé vers moi. un arc tenu par Josh. D'où il est, seul moi peut le voir. Mais mes hommes ont entendus la même chose.

"Je suis là"

Ils se mettent a chercher l'origine de la voix. Je sourit et leur fait signe de se calmer.

- Camarade ! Ca fait une paye ! Tu te décide a m'affronter a visage découvert.

Ca fait longtemps que j'ai comprit qui il est. Pourquoi l'aurais-je invité sinon ? Cette opération avait pour seul but de faire venir spacearrow. Je voulait le démasquer et faire mon surpris. Mais si il le fait de lui même, tout va bien.

- Allons, viens ici, l'ami ! j'ai préparé tout ça juste pour toi ! Et puis a part mes hommes, personne verra ton visage. Et on a pas envie de révéler ton identité. C'est pas fair-play. Oh, et a ta place, je lâcherais ton arc. Bob a le détonateur. Et si tu tente de le tuer, je te tue dans la seconde. Et tu sais que je tire vite et juste.

Joue pas au con, Josh. Après tout, je veux juste discuter.

Ce type m'avait attiré dans un piège et j'y était tombé à pied joins. Derrière mes lunette de soleil, mon regard brûle de colère, pas contre Alex, mais contre moi, j'aurais dû le savoir. Il avait enfermé des hommes des femmes et des enfants dans des boutiques chargés d'explosifs. Il voulait que j'abandonne mes armes, je remit ma capuche et avançais dans la lumière:

"Relâche les, c'est le deal"

Son sbire, Bob, s'emparait de mon arc, je lui permit de le prendre, mais pas sans une certaine résistance. Je savais me battre à main nu, mais je préfère de loin mon arc et mon arbalète qu'il n'avait pas encore récupérer. Cette fois il ne gagnerais pas:

" Libère là, si tu veux que tes hommes vivent et si tu veux que je t'écoute!"

Je voyais les gens qui étaient apeuré et mettaient tout leur espoir en moi. Alex ne pourrais pas m'obliger à montrer mon vidage, un vilain digne de se nom, ne le ferais pas. Alors que nos regard se croiser, lentement je serais dans ma main une fléchette. Il ne pouvait pas voire ce que je faisait exactement. De là où je me trouve je pouvais abattre deux hommes plus Bob, mais après que ferais je:

" Tu veux quoi?"

[ HRP: tu peut pas me demander de montrer mon visage et de dire qui je suis, dans ce cas là c'est la fin de mon perso et du jeu pour moi]

[[

Le voila, désarmé, devant moi, tenant bob. Je pourrais faire ce que je veux. Mais avant tout, je me tourne vers Bob, qui tiens le détonateur.

- Bobby, rends moi service. Si il bouge le moindre membre, tu appuie sur le bouton.

Je le regarde. Il a l'air fou de rage. J'adore.

- SpaceArrow. Camarade. Pas la peine de tout de suite s'énerver. Mon but est juste de parler. Rien de plus. Autour d'un verre, tiens... Oh, non. Si je te file une boisson, tu le jettera sur mes hommes et tueras Bob. Bon, alors parlons juste.

Je descends rapidement de mon kiosque, m'approche de lui et lui met un coup de poing qui le renverse et libère Bob.

- Ca, c'est pour mes snipers, au restaurant. Pauvres hommes innocents... N'essaye pas de te relever, ou bob fera tout péter.

Je sors mon couteau en argent et le regarde.

- Dit moi, pourquoi te bat tu ?

J’étais face à lui. Désarmais ou du moins presque, j’avais sur moi encore quelques gadgets et une oreillette qui retransmettait tout ce que j’entendais à Max, en plus des lunettes de soleil qui renvoyais les images. Il donna un ordre à Bob qui en tant normal inquièterait qui que se soit, mais pas moi, si il faisait exploser le centre commerciale, je survivrais au pire j’aurais quelques bleus et égratignures, rien de bien méchant. Mais pour les personnes pris au piège dans les boutiques, l’affaire n’était pas la même.

Il voulait parler, rien que ça, drôle de façon de le faire. Je me tenais debout comme un « I » prêt à faire tout mon possible pour trouver une solution, j’entendais Max, me prévenir que mon adversaire ne mentait pas, des sources d’énergie ayant la signature de bombes émanait des boutiques. La police et une équipe de déminage avait prit place autour du bâtiment, qui les avaient prévenue.

Il finit par enfin descendre du kiosque, il se mit à ma hauteur, mais je n’avais pas prévu qu’il m’envoie un bon coup de poing, je tombais à la renverse, pas à cause de la douleur, mais suite consécutive au choc, un filet de sang couler au coin de ma lèvre surprenant. Il me dit que c’est pour c’est sniper du restaurant, attendons de voir comment il va réagir en voyant se hommes évanouit un peu plus loin.

J’étais au sol sur un coude, avec interdiction de bouger, sinon petit Bob fera un jolie d’artifice. La suite m’inquiétais d’autant plus, le voyant sortir son couteau en argent, j’avais un très bon souvenir de la blessure à la main après une rencontre avec cette arme, il voilait savoir pourquoi je me bats :

« Je me bats pour que des type comme toi, n’empoisonne pas la vie de ses gens. La ville n’y est rien pour rien si tu es une criminelle, tout ces gens que tu retiens en otage, y sont pour rien. Tu as promis que tu libérerais ces gens si je venais et bien je suis là, à ta merci, tient parole. »

Je moquais de ce qu’il voulait, ce que je voulais c’était de sauver ces gens. Je pense que Alex, bien que criminel, suis un code d’honneur comme tout méchant, il doit comme tout le monde une parole :

« Si tu ne suis pas ce que tu as dit, tu ne vaux pas mieux que ceux qui t’on fait souffrir et qui t’on remplit ton cœur de haine, Alex au nom de notre ancienne amitié, libère le tous, s’il te plaît, après j’écouterais ce que tu veux »

Je le regarde non pas avec de la colère, mais avec sincérité, je savais que de son côté, Max travaillait à trouver une solution.

- Tu as raison. Tout ces gens n'y sont pour rien. Mais en ce qui concerne mon... "Code d'honneur", comme tu dit... Sache qu'il ne s'applique qu'aux gens en qui j'ai confiance. Et je n'ai aucune confiance en aucun habitant de cette ville, a quelques exceptions près.

Il me demande de les libérer pour que j'obtienne ce que je veux. Mais j'ai déjà ce que je veux. Les civils, caméras et policiers ont vus mon visage. A présent, si je fait péter les bombes, mon nom sera synonyme de terreur.

Notre camionnette nous attends dans le parking souterrain. Aucune chance pour elle d'être repérée par la police ou qui que ce soit. Si Bob appuie sur le détonateur et si Josh est neutralisé, mes chances de fuir sont totales.

Je me met a genoux et regarde josh.

- Vieux camarades... J'aimerais que tu sache une chose a mon sujet. Retiens bien cette phrase.

Je plante d'un coup le couteau dans sa jambe et le bouge pour écarter la plaie. Je sourit en regardant sa douleur.

- Je n'ai aucune limite.

Je rit et me relève après l'avoir blessé. Je ne pense pas qu'il pourra fuir, mais il survivra. Et je n'ai pas envie qu'il meure. Je veux qu'il voient ce que j'ai prévu pour cette ville.

Mes hommes et moi reculons doucement vers la sortie du parking souterrain.

- Bien, Space Arrow. Je te propose un truc. Tu ne tente pas de chercher ou je vis, et moi, je ne m'attaquerais pas a tes proches. Mais quand je t'invite a une fête, je t'y veut, c'est bien compris ?

On est arrivé a l'entrée du parking. Un de mes hommes fait lentement baisser le rideau de fer pour nous protéger et permettre notre fuite.

- Oh, et je te l'ai peut -être déjà dit, mais que dit un réalisateur quand il finit de tourner une séquence ?

Une fois le portail fermé, Bob me sourit tandis que je réponds dans le micro connecté aux haut parleurs.

- Coupé.

Je me retourne et me met a courir avec mes hommes vers la camionnette tandis que les bombes derrière nous explosent, tuant tout les civils. Mais comme j'ai dit, seul le hall sera épargné.

Josh va bien.

Et c'est pour ça que nous devons fuir.

Il me planta son couteau dans la jambe, je lâchais un cri de douleur. Il tournait ce couteau dans la jambe agrandissant ma plaie. Du sang s’échappait de l’ouverture. Je n'étais pas du genre vulnérable, je résistais à tout, sauf à l'or et à l'argent. Bien que je croyais me point faible bien gardaient, Alex avait su les trouver et s'en souvenir, je le vit partir avec ses hommes vers le parking souterrain, il ne voulait que je découvre où il vit, sinon il s'en prendrait à mes proches, Lisa et Max, non je ne peut m'y résoudre.

J'avais perdu, je n'osais regardais les gens prisonnier des boutiques, j’entendais leur cries et leur pleures. C'était atroce, ils allaient mourir, ironie de la chose, moi je survivrais. Max ne disait rien de réconfortant, mais que pouvait il dire?

Puis j’entendis la voix d'Alex qui dit le mot de fin de séquence dans le cinéma " Coupé". Alors de toutes mes force je crié avant que tout ne parte en fumée:

"Ordure, va brûler en enfer !"

Puis je sentit l'air chaud de la déflagration, il l'avait fait, il voulait que je voit de quoi il est capable et avec lui rien n'était fini. Alors que je sombrais dans un semi combat, je sentis une main me soulever:

"Max?"

" Ouais mon pote je te ramène chez nous"

Quelques jours plus tard j'étais de nouveaux sur pied, je boitais encore un peu, mais selon Max je devrais retrouver ma motricité normal sous peu. Je discutait avec mon acolytes de mon ennemie le plus féroce:

"J'en fait le serment, Alex Spence finira sa vie soit derrière des barreau d'une cellule soit mort par une de mes flèches"

FIN

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